Résumé:
La littérature se présente souvent comme un miroir qui reflète les réalités sociétales et les
enjeux culturels dans un cadre spatiotemporel donné. À travers ses narrations, elle offre une
perspective sur les luttes individuelles, les inspirations, et les défis que rencontrent les hommes et
les femmes face à des dynamiques historiques et politiques en constante évolution. En somme, Le Fils du pauvre s’impose comme une œuvre profondément sociale, où le
destin individuel d’un adolescent devient le miroir des espoirs de tout un peuple.
Ce mémoire a ainsi contribué à mettre en valeur le rôle fondamental de la littérature comme espace
de représentation et de critique sociale, tout en soulignant l'importance de l'adolescence comme
prisme d’analyse des tensions identitaires et des dynamiques de transformation. Comme l’écrivait Mouloud Feraoun lui-même : « Il faut savoir se battre pour vivre, et surtout ne pas oublier d’où
l’on vient. » Une phrase qui résume à elle seule le combat silencieux de toute une génération.